swordland

Attention cette fanfic ne parle PAS de pokémon mais de magie et de fire emblem (deux de mes passions )Si vous jouez à Fire emblem sur gba(le premier)il pourrait y avoir du spoilermais comme presque tout les joueurs l'ont fini parcequ'en fait il est pas très dur je pense qu'à ce niveau ça posera de problèmes.
J'en profite au passage pour remercier Marie, une amie qui a tout tapé à l'ordinateur (soit un peu plus de 50 pages quand ce serait terminé pour le tome 1).Maintenant j'envoies le premier chapitre et quand les deux autres personnages principau seront apparus je rajouterais les descriptions pour vous aider à y voir plus clair.


Sword Land

Chapitre 1

.Rencontre et départ.



Sacae, Initia, des noms qui se perdent dans le vent : Les noms d’une région et d’un village isolés du reste du monde.
Et dans une maison d’Initia, le changement s’apprêtait à venir. Un dialogue chargé d’émotion se poursuivait :
- Tu es sûre de ta décision ?
- Oui… Je dois retrouver ma vraie famille. Oh ! Pardon papa, je ne voulais pas !
- Tu es encore un peu troublée, c’est normal.
- Je ne sais même plus si je peux te tutoyer ou si je dois commencer à vouvoyer !
- Ni l’un, ni l’autre !
- Comment çà ?
- Continues à m’appeler «papa» comme avant que tu ne saches que l’homme qui t’a élevé comme son propre enfant n’est pas ton vrai père mais un simple forgeron.
Voici comment le forgeron trouva la jeune fille. C’était une matinée de printemps, il partait en forêt pour aller pêcher quant il a vu sur le fleuve un berceau, une épée dans son fourreau ainsi qu’un arc également bien protégé. Intrigué, il avait ramené à lui la planche de bois qui servait de support et il découvrit un bébé endormi dans le berceau avec un médaillon que l’enfant portait au cou. Il avait donc décider d’adopter l’enfant car son visage lui était familier sans qu’il trouve avec qui elle partageait cette ressemblance.
Durant treize ans il avait élevé l’enfant avec tout son amour et entreprit de nombreuses recherches sans retrouver la famille de la jeune fille. Elle avait maintenant quinze ans et avait décider de partir. Seule ? Non, pas vraiment. Elle partait à cheval sur sa jument blanche, Florina accompagnée de sa chienne labrador beige. Elle emportait également son arc et son épée, pour pouvoir au moins se défendre (son père adoptif étant forgeron, il lui avait apprit à manier les armes qu’il fabriquait)
- Tiens ma chérie prends cette bourse.
- Une bourse ? Mais qu’est-ce qu’elle est lourde. Papa, je ne peux pas prendre ton argent, ce serait injuste !
- Non, je savais que ce jour viendrait mais ne pensais pas si tôt.
- Merci beaucoup papa…Je…Je vais y aller…Porte toi bien !
- Toi aussi et surtout ne te sépare pas de ton pendentif, il te permettra de retrouver ta famille.
- Au revoir papa…Au revoir.
Et elle partit.
Elle venait de traverser la moitié du village et se rendait vers la partie Ouest quant un bruit attira son attention. Elle se dirigea vers la provenance du bruit. Une voix masculine et une voix féminine se détachaient du son mat.
- Laisse-moi tranquille Edouard ! Pour la dernière fois : JE NE VEUX PAS T’EPOUSER !
- Tu n’a pas le choix, tu n’a plus d’argent et moi au contraire, j’en ai.
- Tu n’es qu’un…un…
- Tu changeras bientôt d’avis.
- UN MONSTRE ! JE TE HAIS.
Elle venait d’entrer dans une maison en pleurant, le visage dans les mains. L’homme qui lui «parlait» s’en été allé.
Notre jeune héroïne se dirigea vers la maison où était partit la personne qui s’était disputée avec le dénommé Edouard. Les tissus à l’intérieur de la maison laissait penser que la jeune fille aux cheveux blonds- châtains devait être tisseuse ou à la rigueur couturière.
- Bonjour, vous êtes couturière ?
- Oui mais si vous venez de la part d’Edouard vous pouvez repartir : je ne changerais pas d’avis.
- C’est l’homme avec qui vous parliez ?
- Vous ne venez pas de sa part ?
- Non, je l’ai à peine vu et il m’a paru plutôt antipathique.
La jeune fille aux yeux noisette se retourna et sourit. Son visage était agréable et ses cheveux lui donnaient un air radieux.
- Pourriez-vous me coudre une tunique longue avec capuche mais assez commode pour marcher beaucoup et monter à cheval ?
- Bien sûr ! Quelle couleur ?
- Réversible marron et blanc.
- Si ce n’est pas indiscret, quelle est votre nom ?
- Elodie, et le votre ?
- Marie, vous êtes en voyage ?
- Oui, mais je repartirais le plus tôt possible. Au fait, vous me demanderez combien pour la commande ?
- Rien mais à une condition.
- Eh bien, laquelle ? !
- Emmenez-moi avec vous.
- Vous ne vous plaisez pas ici ?
- Non, je logeait dans une famille d’accueil mais ils sont maintenant à l’hospice. Ma seule solution pour survivre serait d’épouser Edouard mais je veux pouvoir me marier avec l’homme que j’aimerais !
- Je vous emmène mais le voyage sera long, alors si vous avez un cheval, qu’il nous accompagne.
- Merci, je cours préparer mes affaires. Vous pouvez rester dormir ici ! Vous êtes mon hôte !
- Pourriez-vous me tutoyer ?
- D’accord mais faites de même.
- Marché conclu !